mercredi 7 août 2013

long live raIs omar wahrouche king of berbere music


bob dylan meets pope john paul II with hat and without hat


I Don't Believe You (She Acts Like We Never Have Met) 1997 + i"m not there


Thing's all right and she's all too tight In my neighborhood she cries both day and night I know it because I was there It's a milestone but she's down on her luck And she's daily salooning about to make her hard earned buck I was there I believe where she'd stop him if she wants time to care I believe that she'd look upon beside him to care And I'd go by the Lord and when she's on my way But I don't belong there No, I don't belong to her, I don't belong to anybody She's my Christ forsaken angel but she don't hear me cry She's a lone hearted mystic and she can't carry on When I'm there she's alright but then she's not when I'm gone Heaven knows that the answer, she's don't calling no one She's the way, her sailing beauty for she's mine for the one And I lost her hesitating by temptation lest it runs But she don't holler me but I'm not there, I'm gone Now I'll cry tonight like I cried the night before And I'm released on the heights in but I'll dream about the door It's alone, she's forsaken by her fate, worse to tell "It don't have approximation", she smiled, "Fare thee well" Now when I'll teach that lady I was born to love her But she knows that the kingdom waits so high above her And I run but I race but it's not too fast or slow But I don't perceive her, I'm not there, I'm gone Well, it's all about confusion and I cry for her Well, I don't need anybody now beside me to tell And it's all affirmation I receive but it's not She's adorned by the beauty but she don't like the spot and she won't Yes, she's gone like the rainbow that shined yesterday But now she's home beside me and I'd like her here to stay She's a lone forsaken beauty and it's don't trust anyone I wish I was beside her but I'm not there, I'm gone Well, it's too hard to stay here and I don't want to leave It's so bad but amusing when she's hard, too hard to leave It's a load, it's a crime the way she haunt me around But she told, "Won't you hate me?" but [Incomprehensible] Yes, I believe that it's rightful, oh, I believe it in my mind I been told like I said when I before carry on the grind And she's on yet she told her like I said, "Carry on" I wish I was there to help her but I'm not there, I'm gone


le dernier des grands gnawas; si mohammed bel hassan


from sam cooke to bob dylan and way back, en passant par les neville bros


BALLAD OF A THIN MAN from EAT THE DOCUMENT


long live blues and rock"n"roll




listen carefully to alfred elkins"s bass on both sides

KAATSKILL SERENADE °1

KAATSKILL SERENADE + 2


DAVID BROMBERG"s OWN DELICATE VERSION



young sinatra; young doris day; around 1954 or so

best voices ever in irak and in the arab world _et au delà




بارك الله في جهودكم على ايصال هذه التسجيلات العراقية الواضحة لأغاني ناظم الغزالي , الرحمة و السلام على روحه 

lundi 5 août 2013



Joel Teitelbaum, né le 13 janvier 1871 à Máramarossziget et décédé le 19 août 1979 à New York2,3, était un Grand-Rabbin hassidique hongrois, fondateur de la dynastie hassidique de Satmar.
Les grands maîtres du hassidisme: Yisroel Baal Shem Tov (1698-1760), fondateur du hassidisme son disciple, Rabbi Dov Baer de Mezeritch(1710-1772), le Maguid de Mezritch son disciple, Rabbi Elimelekh de Lizhensk (1717-1786), Le Noam Elimelekh son disciple, Rabbi Yaakov Yitzchak Horowitz(1745-1815), le Hozeh de Lublin .
..... et le Rabbi Yoel Rabbi Joël Teitelbaum (1887-1979), Satmar Rebbe, auteur de Divrei Yoël et VaYoel Moshe .....
Joel Teitelbaum rabbin de Irchava en Ukraine puis appelé au rabbinat de Carei en Roumanie, avant de s'installer en 1929 à Szatmárnémeti où il crée et dirige la communauté hassidique de Satmar. Durant la Shoah, bien que le mouvement n'ait pas été complètement anéanti, beaucoup de hassidim Satmar sont assassinés et déportés durant la Seconde Guerre mondiale. À l'arrivée des nazis, les membres de la communauté organisent le déplacement de leur rabbi vers Cluj-Napoca, où il est arrêté et transféré dans un ghetto.
En juin 1944, Rudolf Kastner négocie avec les SS l'autorisation pour 1 684 Juifs de quitter la Hongrie pour la Suisse, en échange d'argent, d'or et de diamants, dans ce qui sera appelé le "train de Kastner". Yoel Teitelbaum est un des passagers de ce train, qui est dérouté vers Bergen-Belsen pendant six mois avant d'être autorisé à continuer jusqu'à la frontière suisse, comme prévu initialement. Le 21 Kislev 5705 (1944), le jour où le rabbin Teitelbaum traverse la frontière suisse et échappe aux nazis, est célébré comme un jour férié par les Hassidim de Satmar.
Après la guerre, le rabbin Teitelbaum séjourne quelque temps dans le camp de personnes déplacées de Feldafing (Arrondissement de Starnberg). Le sauvetage de Joel Teteilbaum est sujet à controverse. En effet, les sionistes lui reprochent d'avoir accepté d'être épargné alors que sa communauté mourait dans les camps et les groupes anti-sionistes lui reprochent de s'être allié aux sionistes dans ce sauvetage. Le Rabbi a, quant à lui, écrit une revue Al hagueoula veal Atemoura (Sur la Rédemption et sur la Donation), dans laquelle il répond à ces accusations. En 1945, Joël Teitelbaum monte en Palestine alors sous mandat britannique. Il séjourne à Jérusalem où il fonde une yeshiva.
Fin 1946, il collecte des fonds aux États-Unis, où il rencontre les membres de son ancienne communauté qui ont survécu à la Shoah. Ceux-ci le convainquent de s'installer aux États-Unis. En quelques années, Teitelbaum transforme sa petite communauté en un mouvement mondial dont le siège est à Williamsburg, New York. Dans les années 1970, Kiryas Joel, un village dans le comté d'Orange, New York, est créé pour les adeptes du mouvement.

L'opposition de Satmar à l'État d'Israël est fondée sur leur conviction que la création d'un État juif par les Juifs est un blasphème. Ils croient que les Juifs doivent attendre que Dieu envoie le Messie pour que le peuple juifs puissent retourner en terre d'Israël.
Son opposition au sionisme moderne est celle des trois serments mentionnés dans le Talmud (Ketoubot 110b-111a), qui traite d'un passage du Cantique des Cantiques, dans laquelle Dieu a fait les Israélites "promesse de l'attendre avant de susciter son amour"

Quels sont ces trois serments? Un, qu'Israël ne devrait pas monter en muraille Rachi interprète: avec force]. Deux, le Saint-béni-soit-Il a fait jurer à Israël de ne pas se rebeller contre les nations du monde. Trois, le Saint-béni-soit-Il a fait jurer aux nations de ne pas opprimer Israël trop durement. Le Midrash est en grande partie une analyse exégétique de trois versets séparés du Cantique des Cantiques (2:7, 3:5 & 8:4), et reflète naturellement l'interprétation traditionnelle, qui considère le livre entier comme une allégorie de la relation entre Dieu et le peuple juif : הִשְׁבַּעְתִּי אֶתְכֶם בְּנוֹת יְרוּשָׁלַ‏יִם בִּצְבָאוֹת, אוֹ בְּאַיְלוֹת הַשָּׂדֶה, אִם-תָּעִירוּ וְאִם-תְּעוֹרְרוּ אֶת-הָאַהֲבָה, עַד שֶׁתֶּחְפָּץ ה הִשְׁבַּעְתִּי אֶתְכֶם בְּנוֹת יְרוּשָׁלַ‏יִם בִּצְבָאוֹת, אוֹ בְּאַיְלוֹת הַשָּׂדֶה, אִם-תָּעִירוּ וְאִם-תְּעוֹרְרוּ אֶת-הָאַהֲבָה, עַד שֶׁתֶּחְפָּץ הִשְׁבַּעְתִּי אֶתְכֶם בְּנוֹת יְרוּשָׁלַ‏יִם, מַה-תָּעִירוּ וּמַה-תְּעֹרְרוּ אֶת-הָאַהֲבָה, עַד שֶׁתֶּחְפָּץ Je vous en conjure, ô filles de Jérusalem, par les biches et les gazelles des champs: n'éveillez pas, ne provoquez pas l'amour, avant qu'il le veuille. Je vous en conjure, ô filles de Jérusalem, par les biches ou les gazelles des champs: n'éveillez pas, ne provoquez pas l'amour, avant qu'il le veuille! Je vous conjure, filles de Jérusalem, n'éveillez pas, ne provoquez pas l'amour avant qu'il le veuille.
Le Rabbi de Satmar soutient que Maïmonide a parlé des trois serments comme contraignants: Les serments sont entre le peuple juif et Dieu, et les gentils, et Dieu, respectivement. Le fait que les gentils violent leur serment ne signifie implicitement que le peuple juif soit libre de le violer. Vivre en Eretz Israel n'est pas une mitsva générale pour la collectivité, mais uniquement sur l'individu.


" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."